This content is archived and as has not been processed. It may contain unformatted text or images, broken links or out-of-date information.
Archive
17 septembre 2010 - Victoriya KOVAL (UKR): "Pour gagner, faites passer votre émotion dans le tir à l'arc"
Lausanne
Victoriya KOVAL (UKR): "Pour gagner, faites passer votre émotion dans le tir à l'arc"
Edimbourg – 17 septembre 2010
Une compétitrice ukrainienne en arc classique, Victoriya KOVAL, au top de sa forme, vise le trophée à la Finale de Coupe du Monde 2010. En tant que gagnante de la compétition individuelle à la deuxième étape cette année à Antalya, elle est prête à défier les autres concurrentes.
Quelles sont tes attentes pour la Finale de ce week-end?
Je me sens vraiment très bien. La ville m'a mise de bonne humeur. Toutes les personnes qui sont venues visiter ce beau spectacle ont le sourire. C'est un endroit magnifique et spectaculaire, un lieu historique. On est au cœur de la ville avec une belle architecture tout autour du parc. Alors, j'espère que je tirerai avec tout mon potentiel.
Selon toi, quelles sont tes chances de remporter le trophée?
Tout d'abord, tous les compétiteurs ici sont les meilleurs du monde. Je dirais que chacun a la même chance de devenir champion de la Coupe du Monde. Je me considère comme l'une parmi huit concurrentes de qualité. La chance de gagner est la même pour tous.
Comment décrirais-tu relation avec ton coach?
J'ai beaucoup de chance d'avoir un entraîneur exceptionnel (note: Viktor SYDORUK). Il a l'expérience d'avoir gagné quatre fois des médailles olympiques avec trois pays, une médaille d'or pour l'Espagne, une autre médaille d'or pour l'Italie et deux pour l'Ukraine. Pour moi, en compétition, je pense que j'ai une bonne chance de gagner grâce à lui. Et plus que ça, en plus d'être mon coach personnel, il est aussi très utile pour l'inspiration de notre équipe nationale.
Quelle est son influence majeure sur toi?
Le coach, c'est la moitié du succès. La moitié de votre réussite est faite par l'entraîneur, en particulier pour l'équipe, sa contribution peut être vraiment cruciale. Ce qu'il apporte à mon jeu, c'est la confiance.
Qu'elle est la raison derrière ta très bonne forme en 2010, comme cette première victoire à la deuxième étape de Coupe du Monde?
La première place à Antalya c'était excitant. La vérité, c'est que j'étais même très surprise de mon jeu. J'ai trouvé la compétition plus passionnante et j'ai vraiment beaucoup apprécié l'ambiance qui régnait.
Tirer à l'entraînement est une chose. Vous pouvez bien tirer, vous pouvez mal tirer. A la fin, ce n'est pas important de monter sur le podium ou non. Ce que vous recherchez c'est une autre satisfaction. C'est plus l'émotion qui compte. Si vous essayez de faire ça, de concourir pour ça, vous vous souviendrez toujours de ces sensations. Et quand je parle aux personnes qui n'essaient pas de faire ça, ils ne peuvent pas comprendre (ce sentiment). Il faut essayer de ne pas se battre pour la médaille; juste suivre sa tête et son cœur. Ca demande un haut niveau de concentration pour réussir. Si vous y mettez votre émotion, c'est parfait, vous serez gagnant. Mais bien sûr, parfois, vous devez être prêt à accepter la défaite. Tout sportif qui est entraîné à ce niveau peut bien tirer. Le degré de concentration, c'est ce qui fait la différence.
Comparé à ton succès cette année, tu n'as pas obtenu de médaille aux Jeux Olympique de Beijing. Que retiens-tu de ta première expérience olympique?
Les Jeux Olympiques, c'est une expérience totalement différente. C'est comme une fête pour les plus grands sportifs du monde entier. Vous pouvez faire l'expérience de toute sorte d'événements sportifs. L'ambiance là-bas a une grande influence sur vous. Vous devez entrer sur le terrain, pour la ressentir, ce sentiment seulement pour vous-même. Vous pouvez rencontrer toutes les personnes de tellement de pays différents. Chaque pays est représenté, chaque sport est représenté. C'est la même chose pour les Jeux Olympiques que pour les Universiades. L'amitié, l'ambiance, c'est bon pour les Jeux.
Mon expérience en Chine fut très spéciale et douce, les gens étaient très sympas. Il y a beaucoup de personnes autour de vous qui veulent vous aider. Je ne sais pas sur les autres Jeux Olympiques, mais ceux-là étaient vraiment très spéciaux.
Qu'est-ce qui t'a portée vers le monde du tir à l'arc?
Pour moi, quand j'ai commencé à faire du tir à l'arc, c'était un hobby. En fait, quand j'ai décidé de devenir professionnelle, j'ai plus été influencée par ma famille. Ma maman et ma sœur sont de très bonnes archères en campagne, elles s'entraînent tous les jours. Depuis ce moment, j'ai participé à des compétitions internationales en junior dans différents pays, puis en équipe nationale. Le progrès a été très régulier.
HUANG Xing Xing
World Archery Communication
Quelles sont tes attentes pour la Finale de ce week-end?
Je me sens vraiment très bien. La ville m'a mise de bonne humeur. Toutes les personnes qui sont venues visiter ce beau spectacle ont le sourire. C'est un endroit magnifique et spectaculaire, un lieu historique. On est au cœur de la ville avec une belle architecture tout autour du parc. Alors, j'espère que je tirerai avec tout mon potentiel.
Selon toi, quelles sont tes chances de remporter le trophée?
Tout d'abord, tous les compétiteurs ici sont les meilleurs du monde. Je dirais que chacun a la même chance de devenir champion de la Coupe du Monde. Je me considère comme l'une parmi huit concurrentes de qualité. La chance de gagner est la même pour tous.
Comment décrirais-tu relation avec ton coach?
J'ai beaucoup de chance d'avoir un entraîneur exceptionnel (note: Viktor SYDORUK). Il a l'expérience d'avoir gagné quatre fois des médailles olympiques avec trois pays, une médaille d'or pour l'Espagne, une autre médaille d'or pour l'Italie et deux pour l'Ukraine. Pour moi, en compétition, je pense que j'ai une bonne chance de gagner grâce à lui. Et plus que ça, en plus d'être mon coach personnel, il est aussi très utile pour l'inspiration de notre équipe nationale.
Quelle est son influence majeure sur toi?
Le coach, c'est la moitié du succès. La moitié de votre réussite est faite par l'entraîneur, en particulier pour l'équipe, sa contribution peut être vraiment cruciale. Ce qu'il apporte à mon jeu, c'est la confiance.
Qu'elle est la raison derrière ta très bonne forme en 2010, comme cette première victoire à la deuxième étape de Coupe du Monde?
La première place à Antalya c'était excitant. La vérité, c'est que j'étais même très surprise de mon jeu. J'ai trouvé la compétition plus passionnante et j'ai vraiment beaucoup apprécié l'ambiance qui régnait.
Tirer à l'entraînement est une chose. Vous pouvez bien tirer, vous pouvez mal tirer. A la fin, ce n'est pas important de monter sur le podium ou non. Ce que vous recherchez c'est une autre satisfaction. C'est plus l'émotion qui compte. Si vous essayez de faire ça, de concourir pour ça, vous vous souviendrez toujours de ces sensations. Et quand je parle aux personnes qui n'essaient pas de faire ça, ils ne peuvent pas comprendre (ce sentiment). Il faut essayer de ne pas se battre pour la médaille; juste suivre sa tête et son cœur. Ca demande un haut niveau de concentration pour réussir. Si vous y mettez votre émotion, c'est parfait, vous serez gagnant. Mais bien sûr, parfois, vous devez être prêt à accepter la défaite. Tout sportif qui est entraîné à ce niveau peut bien tirer. Le degré de concentration, c'est ce qui fait la différence.
Comparé à ton succès cette année, tu n'as pas obtenu de médaille aux Jeux Olympique de Beijing. Que retiens-tu de ta première expérience olympique?
Les Jeux Olympiques, c'est une expérience totalement différente. C'est comme une fête pour les plus grands sportifs du monde entier. Vous pouvez faire l'expérience de toute sorte d'événements sportifs. L'ambiance là-bas a une grande influence sur vous. Vous devez entrer sur le terrain, pour la ressentir, ce sentiment seulement pour vous-même. Vous pouvez rencontrer toutes les personnes de tellement de pays différents. Chaque pays est représenté, chaque sport est représenté. C'est la même chose pour les Jeux Olympiques que pour les Universiades. L'amitié, l'ambiance, c'est bon pour les Jeux.
Mon expérience en Chine fut très spéciale et douce, les gens étaient très sympas. Il y a beaucoup de personnes autour de vous qui veulent vous aider. Je ne sais pas sur les autres Jeux Olympiques, mais ceux-là étaient vraiment très spéciaux.
Qu'est-ce qui t'a portée vers le monde du tir à l'arc?
Pour moi, quand j'ai commencé à faire du tir à l'arc, c'était un hobby. En fait, quand j'ai décidé de devenir professionnelle, j'ai plus été influencée par ma famille. Ma maman et ma sœur sont de très bonnes archères en campagne, elles s'entraînent tous les jours. Depuis ce moment, j'ai participé à des compétitions internationales en junior dans différents pays, puis en équipe nationale. Le progrès a été très régulier.
HUANG Xing Xing
World Archery Communication
Biographies
