13 août 2008 - Réactions – Individuel Hommes 1/32 et 1/16 (session de l’après-midi)

Réactions – Individuel Hommes 1/32 et 1/16 Beijing – 13 août 2008   Session de l’après-midi   PARK Kyung-Mo (KOR) – Tête de série no 4   Sur la compétition:   "Après avoir gagné l’épreuve par équipe, j’étais plus à l’aise dans ce match. Mais c’était difficile pour moi de tirer deux matchs à la suite."   Sur son 1/32 de finale contre Luiz Gustavo TRAININI (BRA):   "Je pense que même si mon premier adversaire n’était classé que 61e dans le tour de classement, il était quand même important pour moi de bien tirer, car si je faisais une erreur, j’allais perdre le match."   Mauro NESPOLI (ITA) - Tête de série no 44   Sur sa défaite face à Alan WILLS (GBR) en 1/32 de finale:   "Ce match était une chance de pouvoir prendre une sorte de revanche (sur WILLS) de ma cinquième place au classement de Coupe du Monde l’année dernière, car il m’avait pris la quatrième place au tout dernier match à Douves (Angleterre). Malheureusement, ce n’était pas mon meilleur jour aujourd’hui. Je ne sais pas ce qui s’est passé, mais je n’ai pas réussi à tirer comme d’habitude. Mon score parle par lui-même. J’ai maintenant quatre ans pour comprendre ce qui s’est passé."   Alan WILLS (GBR) - Tête de série no 21   Sur sa victoire sur GALIAZZO, le champion olympique en titre, en 1/16 de finale:   "Marco est l’un des meilleurs du monde et je l’ai battu. J’ai maintenant l’impression que je peux battre n’importe qui. Alors, allons-y."   Sur son 10 à la dernière flèche qui lui a permis de gagner d’un point:   "Je n’ai pas ressenti la pression. Honnêtement, je ne pensais à rien."   Sur le fait d’être le seul archer anglais qualifié pour les 1/8 de finale:   "J’essaie juste de faire en sorte que les gars soient fiers de moi. Ils ont eu une dure journée aujourd’hui et j’essaie donc de faire de mon mieux pour aider l’équipe. Ca aurait bien pu être n’importe lequel de nous."   Marco GALIAZZO (ITA) - Tête de série no 12   Sur son échec à défendre son titre individuel de 2004 et sur la défaite de son équipe contre la Corée en finale 2008:   "Malheureusement, il n’y aura pas de médaille individuelle pour nous. On a remporté l’argent par équipe, mais c’est comme une plaisanterie car on était si proche de la médaille d’or. C’est comme si à la dernière flèche les Coréens nous avaient dit, 'dites arriverderci à la médaille d’or.' En ce qui concerne Londres (2012), prenons chaque chose en son temps. L’année prochaine, on aura les championnats du monde en Corée et on ne va pas laisser les Coréens nous dire arriverderci."   Victor WUNDERLE (USA) - Tête de série no 41   Sur le fait que ce soit l’archère de l’équipe féminine américaine LORIG qui ait joué le rôle de coach dans son match contre DI BUO:   "Elle m’a aide à rester dans mon match quand je luttais. Elle m’a aidé à garder ma tête au bon endroit. C’est une archère talentueuse et aussi un très bon coach. Je ne l’aurais pas prise sur le terrain si je n’avais pas pensé qu’elle pouvait m’aider."   Sur son match contre DI BUO:   "J’ai tire environ la moitié de bonnes flèches, et dans l’autre moitié, je n’ai pas tiré aussi bien que je l’aurais voulu. Mais j’ai terminé avec une bonne flèche et ça m’a donné la victoire. J’ai de la chance que les bonnes choses que j’ai faites aujourd’hui l’ont emporté sur les mauvaises."   "C’est (DI BUO) un grand champion et j’aurais bien voulu qu’on puisse continuer tous les deux."   Ilario DI BUO (ITA) - Tête de série no 9   Sur sa défaite contre WUNDERLE:   "Je ne comprend vraiment pas ce qui s’est passé. Je pensais être en train de bien tiré. Je ne me sentais pas sous pression dès le début. Malheureusement, ces Jeux ne se sont pas passés comme je l’espérais."   Juan Rene SERRANO (MEX) - Tête de série no 1   Sur le fait de se retrouver mené au début du match contre Daniel MORILLO (ESP), tête de série no 33:   "Je pensais que j’allais gagner, je voulais gagner. Il fallait que je reste concentré sur ma cible, que je me concentre sur ma position."   Sur le match:   "C’était super d’avoir ma famille et mes amis qui tous ensemble me supportant en criant 'Vas-y Juan Rene, fait un 10.'"   On MORILLO:   "Il tirait des 10 à tout bout de champs, c’était impressionnant, mais je m’en suis sorti victorieux."   ONS mb/bk/bc/adg/mp/ss/ac/py/rw Traduit par FITA Communication